Il y a des endroits où nous nous sentons mal et d’autres où nous nous sentons bien parce que « l’ambiance » y est meilleure…
Mais ces sensations, ces impressions, en restent généralement là, sans suite, sans lien entre elles, prenant l’allure de malaises vagues ou indéfinissables, parce que nous ne pouvons mettre dessus une étiquette, les reliez à quelque chose de précis.
Car être déprimé parce que l’on sort d’une grippe, cela ne pose pas de problème: il y a le microbe, le virus et la médecine pour expliquer les choses. Mais être déprimé parce qu’on est dans un « mauvais lieu », même si on en a la preuve parce qu’on est mieux chaque fois qu’on en sort et de nouveau plus mal chaque fois qu’on y rentre, c’est difficile, la médecine moderne niant ce qu’elle ne voit pas ou ce qu’elle a décidé de ne pas voir jusqu’à ce qu’elle ait les instruments de mesure et le moyen de reproduire le phénomène en laboratoire.
Être déprimé dans une « maison à dépressions » et être tout le temps malade dans une « maison à maladies » est inconcevable, dans le climat actuel de la science officielle.
Traité de géobiologie, MM. Babonneau, Laflèche et Martin
Ces quelques phrases, bien que datant de 1987 gardent toute leur actualité. La géobiologie doit aujourd’hui naviguer entre le négativisme de la science et de la médecine « officielle », ainsi que le pouvoir de dénigrement des lobbies des télécommunications. Ces lobbies tentent de discréditer toute étude sérieuse sur les dangers des ondes électromagnétiques. ils financent et publient quantité de contre-études propres à ralentir la prise de conscience des citoyens et des pouvoirs politiques.
Ce qui a changé depuis la fin du siècle dernier, c’est que de plus en plus de citoyens ordinaires ne s’en laissent plus compter. Ils prennent leur santé et leur bien-être en main. Une minorité de médecins prend aussi en considération tout ou partie des phénomènes environnementaux. La plupart des thérapeutes alternatifs rend attentive leur patientèle aux paramètres environnementaux, quand ils ne proposent pas eux-mêmes quelques prestations d’ordre géobiologique.
Le temps est venu pour vous, pour nous, de reprendre en main notre destinée, et en premier lieu notre environnement immédiat, et de le faire nous-mêmes. La géobiologie est un des moyen offerts. Peut-être le moyen le plus nouveau, le plus concret.
Traité de géobiologie, MM. Babonneau, Laflèche et Martin
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