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c’est à dire des facteurs influençant la qualité de vie et la santé des occupants d’un lieu.
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]]>L’article Baubiologie, qu’est-ce à dire? est apparu en premier sur BIOSECO.
]]>l’enseignement des relations globales entre l’environnement aménagé et ses habitants
Plus précisément:
Le terme de Baubiologie est d’origine allemande. Il a été introduit en 1969, en Allemagne, par le fondateur de l’Institut de Baubiologie de Neubeuern IBN, le Professeur Anton Schneider.
Aujourd’hui, ce terme est porteur de sens Outre-Rhin, au point d’être exporté dans d’autres pays du monde : ainsi en Anglais on utilise le terme de Bau-Biology®, en Italien on utilise le terme allemand d’origine, tout comme dans les autres pays dans lesquels l’Institut allemand a développé des contacts ou aidé à la constitution d’Instituts locaux.
La traduction la plus adéquate semble être « architecture bio-dynamique », mais un des termes français les plus connus est « écoconstruction », il est apparu à la fin des années 1960, il consiste en la création d’un bâtiment doté de technologies respectant au mieux l’environnement. Les principes directeurs de l’écoconstruction sont détaillés dans la démarche de haute qualité environnementale HQE®. Les nouveaux termes peuvent être « architecture bionique », « bioarchitecture », « biologie de l’habitat », « médecine de l’habitat » … mais pour désigner la vision globale au centre de la Baubiologie, il convient aujourd’hui d’utiliser le terme allemand d’origine: baubiologie.
En géobiologie et/ou écobiologie, il est donc tout naturel de se référer au domaine de la « baubiologie » dès que l’on traitera ou discutera de nouvelle construction ou de rénovation de l’habitat.
Voici un résumé des lignes directrices de la « baubiologie », éditées par l’IBN:
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]]>L’article Le Feng Shui traditionnel est-il encore valable ? est apparu en premier sur BIOSECO.
]]>La connaissance des énergies subtiles telluriques a été pendant des siècles très diffuse, que ce soit en Occident aussi bien qu’en Orient. Les Romains en savaient long sur ce sujet, probablement parce qu’ils avaient étudié à l’école des Etrusques. Malheureusement, nous avons très peu hérité de leur savoir dans ce domaine. Alors nous nous tournons vers les disciplines orientales comme le Vastu et le Feng Shui, qui jouissent actuellement d’un certain succès auprès du public occidental.
Le Feng Shui est une discipline chinoise ancestrale (on dit qu’elle aurait presque 3000 ans), qui a pour but le bien-être physique et psychique, ainsi que la prospérité des habitants d’une maison. Bien que complexe en applications et suggestions, encore valables aujourd’hui, le Feng Shui est né pour des constructions et des environnements complètement différents de ceux existant de nos jours. A cause des propriétés des énergies subtiles, une maison en pierre de taille aura un comportement que l’on ne peut absolument pas comparer avec celui d’une habitation moderne en béton armé.
Je me demande si la plupart des indications du Feng Shui sont applicables dans une maison moderne et si les problèmes dérivant du développement technologique de ces dernières années peuvent se résoudre par des techniques créées il y a des milliers d’années.
Extrait de l’ouvrage « Thérapie de la maison », de Roberto Zamperini
De mon point de vue, il y a non seulement un décalage temporel et contextuel entre le Feng Shui et la géobiologie telle qu’on la connait aujourd’hui, mais également sociologique ou philosophique.
Manifestement, le Feng Shui traditionnel s’adressait à des élites, ayant le pouvoir ou les moyens de se faire construire une maison « idéale », dans un environnement naturel choisi et encore relativement libre d’autres constructions. La localisation des habitants dans la maison, en particulier du maitre de maison dans sa demeure était étudiée et définie avec grand soin.
Les objectifs du Feng Shui sont encore aujourd’hui centrés essentiellement sur la quête de la prospérité, de l’abondance et de la richesse. Le Feng Shui traditionnel ne peut s’imaginer sans y inclure l’astrologie chinoise. Tous ces ingrédients font que le Feng Shui est une pratique extrêmement complexe, mais malgré tout populaire dans les pays « occidentaux », car faisant appel aux même ressorts que le capitalisme: la quête de l’abondance et de la richesse.
Si l’on en revient à la géobiologie, elle a de tout temps cherché à améliorer le bien-être et la santé de tous les occupants d’une habitation, en se souciant aussi des interactions avec le voisinage (ondes électromagnétiques, etc.). Ce qui ne veut pas dire qu’elle n’a rien à retenir du Feng Shui, je pense en particulier à la circulation des énergies dans les pièces, au choix des couleurs, des matériaux, aux principes d’aménagement et de décoration intérieure et, le cas échéant, de l’aménagement des extérieurs.
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]]>L’article Votre mal-être est-il ou pas lié à la qualité de votre habitat? est apparu en premier sur BIOSECO.
]]>Dans cet article je vous propose, à partir des symptômes initiaux les plus courants lorsqu’une perturbation géobiologique* agit sur nos organismes, de faire votre propre analyse, en validant ou invalidant la cause « perturbation géobiologique » pour divers symptômes.
Les symptômes de perturbations géobiologiques les plus communs et les plus prompts à se manifester chez les humains sont:
Si votre temps est principalement partagé entre vos lieux de vie et lieu de travail, prenez conscience du moment où commencent véritablement vos maux de tête, même légers car vous pourrez souvent comprendre ce qui les a déclenchés. La plupart du temps, ce sont des contrariétés, des imprévus, des conflits à gérer, de mauvaises nouvelles, etc.
S’ils semblent survenir sans raisons d’ordre émotionnel mais qu’ils commencent soit systématiquement à votre lieu de travail, soit systématiquement lorsque vous êtes chez vous, la probabilité est grande que la cause soit d’ordre géobiologique, liée à l’un ou l’autre de ces lieux.
Vous pourriez appliquer le même raisonnement avec le symptôme « difficultés de concentration. »
Pour les autres symptômes, plus durables une fois survenus, lorsqu’il vous arrive de partir en week-end ou en vacances, il se peut qu’un ou plusieurs de ceux-ci disparaissent rapidement.
S’ils reviennent tout aussi rapidement lorsque vous reprenez votre vie normale, cela pourrait bien venir de votre environnement (habitat ou lieu de travail).
Si vous avez un certains répit avant que ces symptômes réapparaissent, la cause est à chercher ailleurs (émotionnelle, relationnelle, …).
Enfin, si les symptômes ne varient pas quelque soit l’environnement, l’activité et l’état émotionnel, ce sont souvent des signes précurseurs de problèmes plus graves, c’est une raison suffisante pour consulter un médecin ou un thérapeute.
* Les perturbations géobiologiques sont cataloguées comme suit:
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]]>L’article Peut-on pratiquer la géobiologie sans conscience écologique ? est apparu en premier sur BIOSECO.
]]>La recherche d’un impact minimum sur l’environnement lors de la construction d’une habitation entraîne souvent une amélioration de la qualité de vie dans celle-ci (usage de bois, de terre ou de briques, de peintures naturelles, etc.). Une construction « écologique » ou durable est donc à priori bénéfique pour ses habitants, du point de vue géobiologique aussi.
La géobiologie a du prendre en compte dès les années 1960 la croissance exponentielle des champs électriques et magnétiques produits par le courant domestique 220 Volts / 50 Herz, puis dès les années 2000 la croissance exponentielle des ondes haute-fréquence produites par nos émetteurs-récepteurs « sans-fils » (téléphonie mobile, téléphones portables DECT, Wifi, Bluetooth, four à micro-ondes, potager à induction, radars, satellites de communication, etc.). les solutions proposées vont dans le sens d’une réduction de l’exposition aux champs électro-magnétiques, d’un changement d’habitudes de consommation, par conséquent d’une réduction de sa consommation électrique et de l’internet. C’est donc également une démarche écologique.
Pratiquer la géobiologie est par définition écologique. L’individu sensibilisé à l’écologie prend garde à ce qu’il mange, boit et respire. De plus en plus souvent, il se préoccupe aussi de l’impact que peut avoir l’électrosmog (220 V, haute-fréquences) sur lui et son environnement. Il se préoccupe également de l’impact qu’il a sur son environnement, en tant que consommateur et, le cas échéant, en tant que propriétaire d’une habitation.
Le géobiologue, quant à lui, devrait veiller à ne pas proposer des solutions peu écologiques (par exemple récipients de gros sel à changer régulièrement pour réduire des nuisances cosmotelluriques, appareils techniques coûteux et à l’efficacité douteuse pour annuler les effets de l’électrosmog, etc.)
Les trois domaines que sont l’écologie, l’écobiologie et la géobiologie sont fortement imbriqués. Tout géobiologue devrait en avoir conscience et intégrer ces trois aspects dans sa pratique quotidienne.
Chez bioseco, c’était une évidence dès le début, à tel point que cela a influencé le choix du nom de l’entreprise !
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]]>L’article Qu’entend-on par entités et passeurs d’âmes ? est apparu en premier sur BIOSECO.
]]>Les entités sont généralement des âmes de défunts qui se retrouvent bloquées dans notre espace-temps, notre dimension. Ils se retrouvent dans cette situation pour différentes raisons :
Il est de plus en plus courant de « rencontrer » des entités ou d’en entendre parler autour de soi. Cela est probablement dû à l’augmentation générale du taux vibratoire de la Terre et de ses occupants, entraînant une meilleure conscience de ces phénomènes et une plus grande perception de leur présence ainsi que de leur effet sur nous. Une autre raison est la perte, du moins dans nos sociétés occidentales, de toute croyance ou foi en l’existence d’un « au-delà », après la mort ou avant la naissance (cycles de réincarnation, séparation de l’âme et du corps), ce qui entraîne une augmentation du nombre d’âmes bloquées ou désorientées, après la mort de leur corps physique.
Lorsqu’on est confronté à cette situation, on ressent bien souvent que dans son lieu de vie quelque chose « ne tourne pas rond » :
Ces âmes perdues, bloquées ou retenues n’ont pas leur place parmi nous. Généralement, elles sont animées de bonnes intentions ou d’aucune intention particulière, mais dans tous les cas, elles vont se nourrir de l’énergie des vivants, avec pour conséquences possibles :
Soyez attentif à vos sensations. Et surtout passez à l’action rapidement. Plus vous attendez et plus vous vous sentirez fatigué, en déficit d’énergie.
Même si notre acceptation et notre compréhension de ces phénomènes sont acquises, nous ne sommes pas tous capables d’aider ces âmes en les priant de quitter notre monde. C’est là qu’intervient le passeur d’âmes ou le géobiologue ayant les compétences de dégager des entités.
Ce « spécialiste » va venir sur place ou travaillera à distance. Il va entrer en contact avec l’entité, directement et/ou avec l’aide de son ou ses guide-s (ou de sa guidance intuitive).
Il fera preuve de bienveillance, d’amour et d’humilité en faisant comprendre à l’entité que sa place n’est plus ici. Il demandera à l’entité de se diriger vers la lumière*, car son « voyage », son évolution doivent se poursuivre par le franchissement de cette « porte ».
Dans la plupart des cas, soit pour les âmes perdues, bloquées ou retenues, cette procédure ou rituel suffira à les persuader de quitter définitivement notre monde.
Le passeur d’âmes n’a pas besoin d’autres connaissances ou convictions pour accomplir un travail efficace de libération des âmes perdues, bloquées ou retenues. Il agira ainsi pour le plus grand bien de tous.
Dans les cas plus rares où il serait confronté à une forte résistance, il pourra entamer un dialogue en commençant par s’enquérir des raisons qui pousse l’entité à refuser de quitter le plan terrestre. Ces situations-là requerront de bonnes capacités en médiumnité de contact ou nécessiteront l’aide de tierces personnes, plus expérimentées.
Le passeur d’âmes est un médium qui a la capacité de
montrer le chemin vers la lumière aux âmes perdues.
En géobiologie, la recherche de la présence d’entité(s) devrait toujours faire partie d’un protocole standard d’analyse et de diagnostic des perturbations, au même titre que les perturbations telluriques ou l’exposition à l’électrosmog, par exemple.
Beaucoup de personnes sont totalement réfractaires à l’idée d’un au-delà, donc d’une possibilité de perturbations venant de l’au-delà. Dans ces cas-là, une question éthique se pose : doit-on toujours agir, dans l’idée de soulager le requérant ?
Cela dépend des circonstances, le choix d’agir en toute transparence, d’agir sans en informer le requérant ou encore de ne pas agir du tout sera pris au plus près de la conscience du praticien géobiologue-médium, soutenue par la guidance qui lui est accordée.
* « la lumière » fait écho aux nombreux témoignages de personnes ayant été en situation de mort imminente (EMI, NDE en anglais), personnes qui rapportent quasi systématiquement des souvenirs de point lumineux se rapprochant et devenant un tunnel de lumière, ainsi qu’un sentiment enveloppant de bonté, d’amour universel, etc. Certains dogmes religieux ou philosophiques et les conclusions de ces expérimentations scientifiques « laïques » se rejoignent, dans ce domaine.
Texte ancien à méditer, « Le Tunnel » :
Il existe un tunnel obscur dans la Lumière infinie.
On l’appelle « TEMPS ».
Lorsqu’un humain entre dans ce tunnel,
On appelle cela « NAÎTRE ».
Lorsqu’un humain marche au long de ce tunnel,
On appelle cela « VIVRE ».
Lorsqu’un humain sort de ce tunnel,
On appelle cela MOURIR ».
Considérer que vivre se réduit à évoluer au long de ce tunnel obscur,
Cela s’appelle « ILLUSION ».
Percer des trous dans ce tunnel obscur,
Cela s’appelle « SCIENCE ».
Savoir que la Lumière est autour du tunnel,
Cela s’appelle « FOI ».
Voir la Lumière dans le tunnel obscur,
Cela s’appelle « AMOUR ».
Voir la Lumière à travers le Tunnel obscur, Cela s’appelle « SAGESSE ».
Éclairer le tunnel obscur de sa propre Lumière,
Cela s’appelle « SAINTETE ».
Confondre la Lumière et le tunnel obscur,
Cela est au-delà des mots.
Texte taoïste attribué à Lao Tseu, env. 5e siècle av. J.-C.
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]]>L’article Avant de contacter un géobiologue… est apparu en premier sur BIOSECO.
]]>Avant de devenir praticien en géobiologie, j’ai demandé à plusieurs reprises l’intervention de géobiologues pour analyser mes lieux de vie successifs. Il faut dire que je déménageais souvent et que j’étais déjà conscient de l’importance du lieu sur la santé et le bien-être, en particulier de la position de mon lit. C’est pourquoi j’aimerais par ces quelques conseils vous guider dans les premiers contacts avec votre futur prestataire dans ce domaine, que ce soit chez BIOSECO ou ailleurs!
Il s’agit de se préparer à poser les bonnes questions lors du premier contact, de façon à savoir à quoi s’attendre, surtout si le site ou le prospectus du géobiologue pressenti a quelques lacunes (informations et renseignements souhaités ou souhaitables).
Il existe de nombreuses façons de pratiquer la géobiologie. Les diagnostics, les recommandations et les solutions sont variées et dépendent de chaque praticien géobiologue. Il peut être nécessaire ou utile de clarifier ces points dès le premier contact avec le géobiologue envisagé.
Il est peu vraisemblable que vous trouviez un praticien répondant à ces questions d’une manière qui vous convienne entièrement. Mais si vous appliquez cette marche à suivre, vous vous éviterez certainement quelques malentendus et vous en saurez un peu plus sur ce domaine et ses acteurs, avant même de de vous accorder sur un mandat avec l’un de ceux-ci.
Par ailleurs, vous rendrez service à la corporation quelque peu hétéroclite des praticiens dans ce domaine ainsi qu’à leurs futurs clients en améliorant la transparence et la qualité des rapports entre prestataires et clients.
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]]>L’article Ressources cartographiques et géoportails est apparu en premier sur BIOSECO.
]]>La géobiologie doit tenir compte de la nature du sous-sol du terrain ou du bâtiment examiné. Elle s’intéresse aussi à l’environnement non naturel du terrain ou bâtiment examiné: lignes électriques aériennes ou enterrées, lignes à haute-tension, relais et émetteurs de téléphonie mobile, etc.
Les ressources cartographiques et géoportails en ligne sont en plein développement et nombre d’entre eux sont en accès libre. On peut donc en apprendre beaucoup sur sa région en consultant l’une ou l’autre de ces cartes interactives, dont voici une liste non exhaustive.
Merci de nous signaler tout autre lien intéressant susceptible d’enrichir cette liste.
https://map.geo.admin.ch
http://map.funksender.admin.ch/bakom.php
https://map.search.ch/?pos=693564,189582&zoom=8
https://map.geo.admin.ch/?topic=swisstopo&lang=fr&bgLayer=ch.swisstopo.pixelkarte-farbe&E=2559548.44&N=1169616.93&zoom=3
https://www.google.ch/maps/@46.7785104,6.4364288,10z
https://www.geo.apps.be.ch/fr/cartes/offre-de-cartes.html
https://www.vs.ch/web/egeo/cartes
Valais central : http://www.alpnetsystem.ch
https://www.geoportail.gouv.fr/
Merci de nous signaler tout autre lien intéressant susceptible d’enrichir cette liste.
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]]>L’article Changement de lieu est apparu en premier sur BIOSECO.
]]>De tout temps, les médecins ont prescrit des changements de lieux. « Il lui faut un changement d’air » entend-on dire couramment. Tout le monde a par ailleurs éprouvé à certains moments le besoin de s’en aller de là où il est, de « se changer les idées » et en a ressenti les bienfaits. Si bien qu’on peut dire que depuis toujours la santé a été liée, tant dans la tradition populaire que dans l’esprit des médecins, à des changements de lieux, nécessaires à certains moments.
Traité de géobiologie, MM. Babonneau, Laflèche et Martin
Il n’est pas toujours possible de changer son lit de place, pas le moment idéal pour déménager ou pas raisonnable d’accumuler les séjours à la montagne et à la mer pour fuir un lieu malsain.
C’est là que la géobiologie entre en jeu. Tout d’abord pour diagnostiquer les causes pouvant provoquer mal-être, malaises ou problèmes de santé. Ces causes sont en général multiples et proviennent du sous-sol (tellurisme, mémoires énergétiques), de l’environnement intérieur (électrosmog, émanation de composés volatils, taux de CO2, moisissures, radon, …), de l’environnement extérieur (électrosmog, pollution industrielle et liée aux transports, bruit, …).
Vous pouvez agir sur une partie de ces causes, vous pouvez changer quelques-unes de vos habitudes (réduire l’électrosmog domestique), porter quelques modifications à votre lieu de vie (déplacement de lits, changement d’aménagement et rénovation selon les principes de l’écobiologie).
Le géobiologue quant à lui ira plus loin dans les corrections, équilibrages et atténuation des nuisances diagnostiquées.
En définitive, un changement de lieu ne devrait plus être l’unique solution envisagée, lorsque ce lieu s’avère néfaste pour le bien-être et la santé de ses occupants. Ainsi considéré et « traité », un lieu peut même (re)devenir ressourçant pour ses occupants.
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]]>L’article Rationnel et non rationnel est apparu en premier sur BIOSECO.
]]>La géobiologie se situe à cheval entre le rationnel démontrable, directement reproductible en laboratoire, et le non rationnel, que l’on constate sans pouvoir encore l’expliquer (par exemple l’effet d’une onde de forme ou l’influence d’un dessin géométrique).
La géobiologie aura cet intérêt sur la pensée médicale:
nous amener à passer sans arrêt du rationnel au non (encore) rationnel, sans en être gêné, tout en nous habituant à mieux mesurer les limites de l’un comme de l’autre.
Dans l’état de blocage où nous sommes: dans la seule pensée rationnelle, c’est un excellent exercice pour redévelopper nos possibilités de pensée et de perception non-rationnelle, possibilités un peu trop négligées actuellement.
Traité de géobiologie, MM. Babonneau, Laflèche et MartinL’article Rationnel et non rationnel est apparu en premier sur BIOSECO.
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