Dans l’absolu, on peut imaginer que oui. Cependant la recherche d’une vie saine dans un habitat sain, dans le but de préserver sa santé, définition qui correspond à la géobiologie, est en soi une démarche éminemment écologique. Dans les annuaires téléphoniques, les géobiologues sont d’ailleurs classés sous « géobiologie et écobiologie » (écobiologie : 1- étude de l’impact des facteurs environnementaux sur l’être humain. 2- étude des rapports entre l’homme, son habitat et l’écosystème.)
La recherche d’un impact minimum sur l’environnement lors de la construction d’une habitation entraîne souvent une amélioration de la qualité de vie dans celle-ci (usage de bois, de terre ou de briques, de peintures naturelles, etc.). Une construction « écologique » ou durable est donc à priori bénéfique pour ses habitants, du point de vue géobiologique aussi.
La géobiologie a du prendre en compte dès les années 1960 la croissance exponentielle des champs électriques et magnétiques produits par le courant domestique 220 Volts / 50 Herz, puis dès les années 2000 la croissance exponentielle des ondes haute-fréquence produites par nos émetteurs-récepteurs « sans-fils » (téléphonie mobile, téléphones portables DECT, Wifi, Bluetooth, four à micro-ondes, potager à induction, radars, satellites de communication, etc.). les solutions proposées vont dans le sens d’une réduction de l’exposition aux champs électro-magnétiques, d’un changement d’habitudes de consommation, par conséquent d’une réduction de sa consommation électrique et de l’internet. C’est donc également une démarche écologique.
Pratiquer la géobiologie est par définition écologique. L’individu sensibilisé à l’écologie prend garde à ce qu’il mange, boit et respire. De plus en plus souvent, il se préoccupe aussi de l’impact que peut avoir l’électrosmog (220 V, haute-fréquences) sur lui et son environnement. Il se préoccupe également de l’impact qu’il a sur son environnement, en tant que consommateur et, le cas échéant, en tant que propriétaire d’une habitation.
Le géobiologue, quant à lui, devrait veiller à ne pas proposer des solutions peu écologiques (par exemple récipients de gros sel à changer régulièrement pour réduire des nuisances cosmotelluriques, appareils techniques coûteux et à l’efficacité douteuse pour annuler les effets de l’électrosmog, etc.)
Les trois domaines que sont l’écologie, l’écobiologie et la géobiologie sont fortement imbriqués. Tout géobiologue devrait en avoir conscience et intégrer ces trois aspects dans sa pratique quotidienne.
Chez bioseco, c’était une évidence dès le début, à tel point que cela a influencé le choix du nom de l’entreprise !
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